Déguste ma vie!

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Catharsique d'une faible

mardi 25 mai 2010

La Culture


> Définition :

Pour moi une personne cultivé ce n’est pas forcément quelqu’un qui a pour livre de chevet Guerre et Paix de Tolstoï et qui ne se divertit qu’en écoutant Chopin ou Wagner. Non, pour moi, la culture doit être prise dans un sens plus large.

D’une part les notions de français, il faut avoir une certaine qualité de vocabulaire, ne pas lâcher des « hein » dès que certains mots un peu soutenus sont prononcés. Sans être incollable en orthographe, l’homme cultivé s’éloigne tout de même du « koi » et du « ossi ».

Ensuite, pour ce qui est de l’art, il n’est pas nécessairement puriste dans touts les domaines, ça me parait compliqué, mais il a déjà lu autre chose que TéléZ, regardé un peu mieux que Sexe Intention, écouté autre chose que Patrick Sébastien et connait un autre peintre que Picasso.

Pour finir, l’homme cultivé est quelqu’un qui a un minimum de connaissance sur ce qui se passe et ce qui c’est passé dans le monde. Par exemple, il n’associe pas automatiquement l’Afrique du Sud à la coupe du monde 2010 mais plutôt à l’apartheid et Nelson Mandela.

>Réalité :

Je tiens à précisé que je ne suis pas vraiment parfaite femme de culture. En effet, je fais de nombreuses fautes n’en déplaise à Mme B. et j’aime utiliser des anglicismes et autre mots en verlant comme « véner », «relou » ou «cheker ». J’aime aussi lire des magazines people, regarder des films, des série ou des émissions à la con : American Pie, Un, Dos, Tres et Secret Strory. J’écoute également des chansons kitchs et ridicule à souhait j’ai nommé Calogéro et Pierre Billon Dans tout ça, l’important c’est d’y aller au 5ème degré.

>Problème:

Finalement, j’en arrive à faire ma réclamation. S. Ma V. m’a expliqué qu’une des raisons pour laquelle j’étais inlassablement célibataire, c’était à cause de cette connaissance qui impressionné trop des garçons bien moins cultivés. Après une brève réflexion on en a conclus que si elle arrivé si bien a envoyer c’est parce qu’elle était dépourvu de cette culture. J’ai trouvé ça injuste, mais à vrai dire c’est vrai. Un garçon a besoin de se sentir au dessus de sa conquête, c’est triste mais je ne changerai pas les choses. Alors j’ai essayé de caché mes connaissances, ne pas avoir trop de références philosophiques, de ne pas monté sur mes grands chevaux lorsque certain faussement cultivé ose dire des choses fausses et les clamer. Mais je n’y arrive jamais très longtemps…

>Solution :

Ce qu’il me faut, pour pouvoir sortir de mon célibat redondant, c’est donc un homme cultivé. J’ai cru que le Père B. pourrait être celui là, puisqu’il avait fait l’école du Louvre et se prétendait cinéphile. En fait non, il s’agissait seulement d’une technique de drague mal rodée, qui m’a drôlement déçus et aujourd’hui ce garçon m’insupporte. J’ai songé à Le Lyonnais mais celui-ci, bien que plus intéressant il s’avère qu’il est drôlement sectaire dans ses goûts, mais au moins il y a du débat entre nous.

J’osais espérer qu’en entrant en prépa je rencontrerais des personnes assez cultivé, ce ne fut pas vraiment le cas, enfin ils sont mieux qu’au lycée mais ce n’est pas ça. L’année prochaine je pars en école de commerce, je crains être confrontées au plus beau fil à papa de France en espérant que ceux-ci soient cultivés…


ps: Je ne veux en aucun cas me vanté ou faire étalage de quelques connaissances, je base cette articles sur des avis de proches et des constats personnels...

lundi 26 avril 2010

La mort aux roux


Je n’y peux rien je n’aime pas les roux. On a tous une haine inexplicable, certains ces les clochards, d’autres les pigeons, d’autre encore c’est la plage, ben moi c’est les roux.

Ils sont laid, je mets au défi quoiqu’onc de trouvé un beau roux). Sentent souvent mauvais. On une peau plus blanche qu’un cul d’anglais. S’unissent entre eux pour former des bandes de roux. Ils se sentent supérieur par leur différence. Pour couronner le tout, sont très (très) fière d’arborer une crinière à la couleur citrouille et le revendique. Je ne suis pas pour leurs extermination, mais il est vrai que si je devais choisir une race à éliminé je choisirais celle la.

Je n’ai pas de roux d’en mon entourage pourtant ils représentent 6% de la population française, je dois avoir de la chance ou juste les éviter avec talent. Enfin exception faite de C. (un roux, un pur, un vrai) l’ex de Kirikou qui osa une fois me critiquer, il ne le fera plus je peux vous l’assurer. Il y a aussi Le père B. qui après avoir vu un de mes profil fb dans lequel je critiquais les roux, voulu me faire une blague en se faisant passer pour roux, mais il a vite compris que cela ne pouvait être un sujet de plaisanterie avec moi.

Pourtant, aujourd’hui j’ai découvert le nouveau clip de M.I.A.

Voila je sais bien que le choix des roux n’est qu’une métaphore, mais je me remets beaucoup en cause subitement. Certes les acteurs de ce clip correspondent tous à la description du roux que j’ai fait plus haut, mais bon, avec du recul je suis peut être un peu dur avec eux. Alors je lance un appelle solennelle, si jamais vous êtes un roux cool (pas le pokémon, hein ?!) que vous vous pensez capable de me faire remonter l’estime de votre race, je suis ouverte J

jeudi 22 avril 2010

Entre les deux mon cœur balance…

Je ne suis pas une de celle qui parle beaucoup avec les garçons, exception faite de R. l’Artiste. En général, soit je n’ai avec eux qu’une relation physique très éphémère, soit se sont des potes avec qui je me contente de blablater lorsque je l’ai vois. Pourtant, en ce moment j’entretiens des conversations (des vraies de vraie) avec deux garçons à la fois. Il y a d’un côté Le Lyonnais et de l’autre Le Père B., ils ne se ressemblent pas du tout, mais je les aime bien tout les deux.

Le Lyonnais je l’ai rencontré (comme sont nom l’indique) à Lyon alors que j’allais fêter l’anniversaire d’une amie qui fait ses études là bas en février. Il est petit, ne boit pas beaucoup, ne parle pas non plus et je le calcule à peine. Je remarque tout de même qu’il me lance des œillades, tant et si bien que nous finissons par se parler en fin de soirée. Je lui plais. On s’embrasse. On se met à l’écart et … … … il se décide à entamé un débat philosophique sur l’éphémère. Nul. Un ami à lui vient le chercher « Il faut partir ». Il me sourit, me serre la main et s’en va. Con. Quelques jours plus tard il me parle sur facebook en m’expliquant qu’il est désolé de son comportement, mais qu’il était impressionné et n’arrivait pas à gérer le fait que nous ne nous reverrions sans doute jamais. Mignon. On discute beaucoup ensemble et on s’entend très bien. Maintenant il m’annonce qu’il va venir part chez moi en mai et en juillet « Comme ça on pourra se voir, hein ?! ».

Le père B. lui je ne le connais que depuis 1 semaine. Je l’ai rencontré en ville alors que j’étais de sorti avec M. (une super fille, avec qui je passe la plus part de mes vacances depuis 2 ans). Elle le connait bien, il est à son école et ils ont déjà baisé ensemble, mais il ne l’intéresse pas vraiment «Ce n’est qu’un ami ». On parle beaucoup pendant la soirée, on est un peu saoul et on ironise sur la religion (d’où son surnom). Il me pari que je suis trop saoul pour me souvenir de lui demain et que je ne l’ajouterais jamais sur facebook, sympa la technique. En partant il m’embrasse, comme ça alors que je ne l’avais pas prévu, je suis un peu désappointé. M. rigole en me comparant à La Moche qui c’était fait doigter par une de mes aventures estivale. On rit. Le lendemain bien sur je l’ajoute sur fb, on parle, il est très drôle et me drague avec talent. On rit. Il me dit qu’il veut me revoir vite, je lui dis « Pourquoi pas. ».

Finalement j'ai compris qu'avec l’un comme avec l’autre je n’aurais jamais plus que du cul. L’un pour des raisons géographique, l’autre parce que c’est un cutard. Je sent que les vacances d'été cont être sympa...

Je note que grâce à (ou peut être à cause de) fb, mes aventures d’un soir deviennent mes amis…

mercredi 21 avril 2010

Différence, totale différence.


J’ai toujours été en grand décalage avec ceux qui m’entoure et ceci je peux l’expliquer par un fait très simple et très claire : j’ai sauté une classe. Vous me direz que beaucoup de gens l’ont fait sans être vraiment perturbé mais moi ça ma complètement détruite (du moins en partie).

Je vais expliquer toute l’histoire un peu plus clairement.


J’étais dans une petite école de campagne si bien qu’il n’y avait qu’une classe par niveau, que tout le monde se connaissaient. J’ai sauté le CE2. A partir de ce moment je n’ai plus vraiment eu d’amis. Les CE2 me rejetaient car « Je jouer les grande » et les CM1 aussi car pour eux « Je n’étais qu’une petite gamine ». Très bien je passerais 2 ans seule mais ensuite quand j’irais au collège et j’aurais plein d’amis. Ou pas.

Mes années collège furent bien pire, les préados sont d’une violence soit dit en passant. J’étais sans doute immature en entrant en 6ème je le confesse, mais j’ai vraiment essayé de compenser (ce qui doit d’ailleurs être à l’origine de mon coté extravertie), ils ne m’ont laissé aucune chance. En plus m’a chance a voulu que je garde la même classe durant les 4 ans. Celle-ci m’aura attribué une belle flopée de rumeur mais ma préférée restera le fait que je fus Lesbienne, puisqu’elle sera récurrente. Alors m’a grande décision a été de quitter mon collège (privé) pour un lycée public ou j’étais sur que personne n’irait ce qui me permettais de recommencer encore.

La classe de seconde a été très dure, pas d’amis, mais surtout bouc émissaire de ma classe. Cette fois ci les élèves m’ont utilisé, moi et mon in considérable envie d’avoir des amis. J’ai organisé des fêtes pour me faire bien voir, mais ces gens y ont foutu un véritable carnage « On s’en fout c’est chez C. ». Et puis, ils m’ont assez utilisé n’ont plus besoin de ma maison alors je deviens une lesbienne salope qui baise le 1er mec venu (cherchez l’erreur).

Ma 1ère et ma Terminale se passeront nettement mieux, mais les problèmes surviendront hors du contexte scolaire, puisque je commence à sortir, héhé. J’évoquerais peut être ça une autre fois….

lundi 29 mars 2010

Rêver Sa Vie



Lorsque j’étais au collège la coutume voulait que tout le monde écrivent partout, c’est-à-dire sur toutes les pages de son agenda, dans les articles des son skyblog ou bien encore sur son pseudo msn, cette phrase au combien philosophique « Il faut vivre ses rêve et pas rêver sa vie ». Je crois vraiment que ce matraquage n’aura pas marché sur moi.


J’ai pris une habitude, il y a de ça bien longtemps, de préparer à m’endormir en me voyant au bras du plus beau de tout les garçons que je puisse m’imaginer, du dernier garçon rencontrer ou bien simplement de n’importe quel garçon. C’est affabulation dure souvent plusieurs dizaines de minutes ce qui explique pourquoi je mets en général plus d’une heure à m’endormir. Mais, dans ce que je vais appeler mes Turpitudes, je ne pense pas qu’au dit garçon mais à tout la vie parfaite qui va avec. En général une Turpitude dure une quinzaine de jour, sauf si bien sûr je rencontre un garçon encore mieux auquel penser.



Sans revenir sur toutes celle que j’ai vécus, je vais vous raconter celle du moment.


Je suis à Lille en école de commerce (celle que je convoite depuis le début de cette année) dans mon petit apart’. C’est début septembre et ma meilleure amie n’est pas encore revenue de la côte car en fac les cours commencent octobre. Je suis assez seule, je ne connais personne, il fait plus très beau etc. le schéma parfait pour l’intervention de l’homme parfait. Mon voisin, Simon surnommé Jill (oui mes Turpitudes sont très précises sur certains détails) viens toqué chez moi pour me demandé la musique que j’écoute « C’est Courtship Dating de Crystal Castel » sans suit une soirée à parler de tout à faire connaissance… On se ressemble un peu il est beau et me trouve belle. Il me fait rencontrer ses amis qui sont fun et complètement PARTY, il me présente aussi son ex beaucoup plus belle que moi qu’il à trompé durant tout l’été. On s’aperçoit que le seul ami que j’ai dans ma classe est son pire ennemi, il s’appelle Marc est très beau aussi et me drague clairement. Un jour on discute installer sur des transats sur le toit de notre immeuble, je lui affirme qu’on finirait forcément par baisé ensemble tant c’est écrit et lui me répond « non un jour on fera l’amour ensemble ».


Voila ou ça en est pour le moment, ça fait déjà une semaine, elle ne durera plus très longtemps, mais si jamais la fin est sympa je vous la raconterais.

dimanche 28 mars 2010

T'es un poète toi?


Nouvelle création des élèves de ma prépa, quelques uns ce sont amusé à distribué un article (rudement bien rédiger sois dit en passant) comportant des ragots sur les personnes de nos quelques classe. On m’a dis que c’était « comme dans Gossip Girls » j’en sais rien je ne regarde pas. Mais voila, j’apparais sur ce feuillet, bien sûr on y cite 2 de mes aventures inter lycée (j’ai compris plus jamais).

Une à propos de F. avec qui je suis officiellement sortie, durant 10 jours (records personnel de longévité), on nous a attribué le surnom « Ray Ban Power » que veux tu c’est ça d’avoir le style quand t’es entouré de sous merde mal habillé.

L’autre sur LR. un mec magnifique à qui j’ai seulement roulé quelque pelle durant une soirée, même pas de baise et on apparait dans ce foutu ramassis de merde fièrement nommé « Bitching ». Ce qui m’énerve c’est le commentaire, « ils nous on fait rêvé pendant une soirée … mais pourquoi ça n’a pas duré ». Tu veux que je te le dise moi pourquoi ça n’a pas durée !?! Parce que LR. est un pauvre con qui n’a jamais répondu quand j’ai fait l’effort de lui parler via facebook (ok c’est pas romantique mais bon). Parce que depuis que « ça » c’est passé il me snob comme un bon gosse de riche qu’il est. Alors voila pourquoi, la prochaine fois petite pute (par ce que c’est forcément une fille) en quête d’émotion, qui utilise la vie des autres pour avoir quelque frissons, tu évite d’écrire des trucs pareilles qui font me rappeler ses souvenirs et qui pousse 50 étudiants à venir me demander « mais c’est vrai, pourquoi ?! ».

Sur ce, petit moment de rage passé, quelque ligne plus tard, les vacances c’est dans 1 semaine mais bon à l’internat c’est déjà les vacances. Vous croyez que je vais pouvoir l’avoir ma petite orgie ?

mercredi 17 mars 2010

Le bien qui fait mal (ou comment cité l’Opéra Rock pour se décrédibilisé)



Mettons les choses en contexte.


Il y a un peu plus d’un an je le rencontre, il est beau, sympa et surtout il a une copine depuis quelques mois. Embarqué par mes sentiments (comme bien trop souvent, d’ailleurs) je succombe à ses charmes petit à petit. Il est amoureux, ça s’annonce mal barré, je l’oublie un peu. Mais il fini par me dragué et bien sur, je me laisse bien facilement convaincre, tant et si bien que nous baisons à moitié saoul en début d’été. Là, bien sûr je ne pense plus qu’à lui (non mais quelle bouffonne). Ne vous inquiétez ma vie sexuelle de l’été est loin de s’être résumer à cette épisode fourni en sentiments lamentables. On se côtois tout l’été en amis ce qui ne fais qu’accroitre un peu plus mon désir. Finalement l’été se termine et mes sentiments disparaissent au rythme du soleil.


Mais un problème est survenu aujourd’hui, je l’ai croisé au détour d’une rue. Cela faisait donc, plusieurs mois que nous ne nous étions vu. Nous nous saluons et échangeons des banalités pendant moins d’une minute. Insuffisant pour n’importe quelle fille, cela fait des heures que raisonne «E.P. » dans ma tête. Ça y est je suis de nouveau amoureuse de lui, PATHETIQUE. Bienvenue dans mon monde…

mardi 16 mars 2010

Deux larmes qui coulent

Je ne suis pas quelqu’un qui pleur. Ça en déroute beaucoup mais les seuls larmes qui m’arrivent de laisser jaillir sont celle provoquées par la douleur physique, jamais la tristesse, la colère, la joie… Non pas que je ne sois jamais triste, juste que je le suis dans l’intimité la plus stricte.

Une fois seule, j’aime écouter des chansons « tristes » quand je le suis déjà, juste pour voir dans le miroir des larmes couler le long de mes joues. Juste pour me prouver que j’ai un cœur, des vrais sentiments comme tous.

Une fois ne pouvons faire ma catharsis en paix dans ma chambre d’internat, le pire c’est produit. M.R est entrée et m’a découvert dans un état qu’elle n’aurait jamais du voir. Paniquée de me voir mal, moi la si souriante et joviale C. le pire devait se produire dans ma vie. Prise de panique elle appela La Vietkong lui annonçant que j’étais au bord de tentative de suicide… rire partagé avec La Vietkong qui me connais si bien. M.R. ne s’amusera plus à m’interrompre, ni a jouer les héroïnes.

Enfin passons, je me suis amusée à chercher la tête de ces chanteurs qui m’arrachait ces quelques larmes. Ma découverte ma provoqué un fou rire, ils sont unanimement tous laid…


Hébergement photos

Gary Jules, Mad World


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Jil is Lucky, The Wanderer


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Manchester Orchestra, I can feel a hot one


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Obadiah Parker, Hey Ya


Hébergement photos

Tom Mcrae, You cut her hair


Hébergement photos

Ray Lamontagne, Lesson learned

Non pas un pour ratrapper l'autre, je ne sais pas si après ça ils seront encore capable de me voir pleurer...

vendredi 12 mars 2010

Frustration sexuelle

Le bonheur du weekend à venir?

jeudi 11 mars 2010

Le Manifeste des 300 salopes.



Je suis une fille un peu comme ça. J’en fais toujours trop, toujours plus. Mais je suis tellement parfaite.


- Je rote, je crache.


- Je baise où, qui et quand je veux.


- Je fume


- Je me drogue *


- Je suis intelligente


- Je fais des fautes un mot sur deux


- Je m’habille trashment bien


- J’aime les photos glauques


- Je mange encore et toujours


- Je bois et j’ai la gueule de bois


- J’suis raciste


- Je suis vulgaire


- Je suce mal


- Je me plains


- Je chante fort mais faux


- Je suis cinéphile


- Je vomis dans un coin


- Je danse comme les putes


* : en fait pas tant que ça mais ça fait rebelle.

Le Glauque Amour

Je suis une de celle qui a du mal à voir les autres heureux. Je suis ce genre d’amie qu’il ne faut surtout pas venir voir quand on a une peine de cœur, un problème dans son couple. Sans doute par jalousie mais le fait est, que j’aime voir les filles pleurer parce qu’elles se sont fait jeter par « l’homme à qui elles avaient pourtant tout donné ».

L’exemple parfait reste ce petit couple bien ensemble depuis 2/3 mois, M.R. et Le P. Ils se connaissaient depuis des mois ce sont mis enfin en couple est sont tombé follement amoureux en moins d'une semaine. Mais qu’est ce qu’il peut l’a faire souffrir, mon dieu c'est un salaud. Si elle part en pleure de cours c'est forcément à cause de lui. Alors moi dans mon avis d'asouvir se plaisir malsaint de la voire triste (vengeance), il m'arrive souvent d'avoir des conversations avec elle. Toujours les mêmes.Elles ressemblent un peu à ça :

« - Ca va M. ?


- Non pas trop. En ce moment ça ne va pas fort avec Le P, il n’arrive pas à comprendre à quel point je l’aime. J’ai vraiment l’impression de me sacrifier pour lui, sans que ça le touche vraiment. Il s’investit vraiment pas assez de notre relation, il s’en fiche j’ai l’impression, alors ça me saoul trop. Je veux pas non plus l’étouffé parce que après il va en avoir marre, alors du coup j’ai du mal à trouver le juste milieu et j’en souffre trop !


- Ah merde.


- Mais toi à ma place tu ferais quoi ? parce que moi je sais vraiment plus quoi faire, j’arrive pas à comprendre ce qu’il attend de moi et je suis toute perdue. Du coup je pense à ça tout le temps, j’arrive plus à me concentré sur les études et c’est vraiment la merde au niveau de mes résultats. Alors j’essaye de plus le calculer, mais ça marche pas. Dès que je le croise j'ai les larmes qui montent aux yeux en ce moment. En plus il arrive pas à le comprendre!


- Ouais je comprend.


- Du coup je crois que je vais le laisser respirer, si il veut me voir il sait ou me trouver. Comme ça il ralera pas que je suis trop sur son dos. Il me dis qu'il peut plus voir ces potes et après il me demande de secher pour passé plus de temps avec lui. Il faut qu'il comprenne que je veux pas gaché mes études. Mais en même temps si je lui dis ça il va mal le prendre alors, je sais pas quoi faire.


- C'est sûr.»


Un jour elle comprendra que je me fout completement de tout ça, que la seule chose qui me plait dans cette histoire c’est l’imaginé enfin quitter sont mec que je veux sauter depuis septembre dernier.

Hier je me suis suicidée



Je n’ai laissé derrière moi qu’une lettre, un mot, pour ne pas mourir seule, emporté mes proches dans la culpabilité.




Ma mort est pour :


- Vous mes parents qui auraient du me faire confiance.


- Toi mon frère qui m’a trop pris pour une conne.


- Toi La Vietkong qui est parti trop loin foutre ta vie en l’air.


- Toi La Moche qui n’est qu’une petite salope.


- Toi Z.S. qui ne comprend pas que les autres souffre parfois.


- Toi R.B. qui a beaucoup trop la grosse tête.


- Toi M.B. qui ne m’a pas assez sortie.


- Toi C. qui ne m’a pas assez fait rire.


- Toi M.R. d'être aussi naïve


- Toi A.H. qui ma délaissée.


- Vous M.G. et M.I. qui vous êtes trop moqué.


- Vous A.T., T.Q., F.S. de vous avoir un jour rencontré.


- Et pour vous E.P., le P., F.L., N.L de ne pas avoir compris que je voulais plus que ça.




En attendant je suis toujours vivante et je commence ce blog comme alternative à la mort. Ça va être joyeux.