Déguste ma vie!

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Catharsique d'une faible

lundi 26 avril 2010

La mort aux roux


Je n’y peux rien je n’aime pas les roux. On a tous une haine inexplicable, certains ces les clochards, d’autres les pigeons, d’autre encore c’est la plage, ben moi c’est les roux.

Ils sont laid, je mets au défi quoiqu’onc de trouvé un beau roux). Sentent souvent mauvais. On une peau plus blanche qu’un cul d’anglais. S’unissent entre eux pour former des bandes de roux. Ils se sentent supérieur par leur différence. Pour couronner le tout, sont très (très) fière d’arborer une crinière à la couleur citrouille et le revendique. Je ne suis pas pour leurs extermination, mais il est vrai que si je devais choisir une race à éliminé je choisirais celle la.

Je n’ai pas de roux d’en mon entourage pourtant ils représentent 6% de la population française, je dois avoir de la chance ou juste les éviter avec talent. Enfin exception faite de C. (un roux, un pur, un vrai) l’ex de Kirikou qui osa une fois me critiquer, il ne le fera plus je peux vous l’assurer. Il y a aussi Le père B. qui après avoir vu un de mes profil fb dans lequel je critiquais les roux, voulu me faire une blague en se faisant passer pour roux, mais il a vite compris que cela ne pouvait être un sujet de plaisanterie avec moi.

Pourtant, aujourd’hui j’ai découvert le nouveau clip de M.I.A.

Voila je sais bien que le choix des roux n’est qu’une métaphore, mais je me remets beaucoup en cause subitement. Certes les acteurs de ce clip correspondent tous à la description du roux que j’ai fait plus haut, mais bon, avec du recul je suis peut être un peu dur avec eux. Alors je lance un appelle solennelle, si jamais vous êtes un roux cool (pas le pokémon, hein ?!) que vous vous pensez capable de me faire remonter l’estime de votre race, je suis ouverte J

jeudi 22 avril 2010

Entre les deux mon cœur balance…

Je ne suis pas une de celle qui parle beaucoup avec les garçons, exception faite de R. l’Artiste. En général, soit je n’ai avec eux qu’une relation physique très éphémère, soit se sont des potes avec qui je me contente de blablater lorsque je l’ai vois. Pourtant, en ce moment j’entretiens des conversations (des vraies de vraie) avec deux garçons à la fois. Il y a d’un côté Le Lyonnais et de l’autre Le Père B., ils ne se ressemblent pas du tout, mais je les aime bien tout les deux.

Le Lyonnais je l’ai rencontré (comme sont nom l’indique) à Lyon alors que j’allais fêter l’anniversaire d’une amie qui fait ses études là bas en février. Il est petit, ne boit pas beaucoup, ne parle pas non plus et je le calcule à peine. Je remarque tout de même qu’il me lance des œillades, tant et si bien que nous finissons par se parler en fin de soirée. Je lui plais. On s’embrasse. On se met à l’écart et … … … il se décide à entamé un débat philosophique sur l’éphémère. Nul. Un ami à lui vient le chercher « Il faut partir ». Il me sourit, me serre la main et s’en va. Con. Quelques jours plus tard il me parle sur facebook en m’expliquant qu’il est désolé de son comportement, mais qu’il était impressionné et n’arrivait pas à gérer le fait que nous ne nous reverrions sans doute jamais. Mignon. On discute beaucoup ensemble et on s’entend très bien. Maintenant il m’annonce qu’il va venir part chez moi en mai et en juillet « Comme ça on pourra se voir, hein ?! ».

Le père B. lui je ne le connais que depuis 1 semaine. Je l’ai rencontré en ville alors que j’étais de sorti avec M. (une super fille, avec qui je passe la plus part de mes vacances depuis 2 ans). Elle le connait bien, il est à son école et ils ont déjà baisé ensemble, mais il ne l’intéresse pas vraiment «Ce n’est qu’un ami ». On parle beaucoup pendant la soirée, on est un peu saoul et on ironise sur la religion (d’où son surnom). Il me pari que je suis trop saoul pour me souvenir de lui demain et que je ne l’ajouterais jamais sur facebook, sympa la technique. En partant il m’embrasse, comme ça alors que je ne l’avais pas prévu, je suis un peu désappointé. M. rigole en me comparant à La Moche qui c’était fait doigter par une de mes aventures estivale. On rit. Le lendemain bien sur je l’ajoute sur fb, on parle, il est très drôle et me drague avec talent. On rit. Il me dit qu’il veut me revoir vite, je lui dis « Pourquoi pas. ».

Finalement j'ai compris qu'avec l’un comme avec l’autre je n’aurais jamais plus que du cul. L’un pour des raisons géographique, l’autre parce que c’est un cutard. Je sent que les vacances d'été cont être sympa...

Je note que grâce à (ou peut être à cause de) fb, mes aventures d’un soir deviennent mes amis…

mercredi 21 avril 2010

Différence, totale différence.


J’ai toujours été en grand décalage avec ceux qui m’entoure et ceci je peux l’expliquer par un fait très simple et très claire : j’ai sauté une classe. Vous me direz que beaucoup de gens l’ont fait sans être vraiment perturbé mais moi ça ma complètement détruite (du moins en partie).

Je vais expliquer toute l’histoire un peu plus clairement.


J’étais dans une petite école de campagne si bien qu’il n’y avait qu’une classe par niveau, que tout le monde se connaissaient. J’ai sauté le CE2. A partir de ce moment je n’ai plus vraiment eu d’amis. Les CE2 me rejetaient car « Je jouer les grande » et les CM1 aussi car pour eux « Je n’étais qu’une petite gamine ». Très bien je passerais 2 ans seule mais ensuite quand j’irais au collège et j’aurais plein d’amis. Ou pas.

Mes années collège furent bien pire, les préados sont d’une violence soit dit en passant. J’étais sans doute immature en entrant en 6ème je le confesse, mais j’ai vraiment essayé de compenser (ce qui doit d’ailleurs être à l’origine de mon coté extravertie), ils ne m’ont laissé aucune chance. En plus m’a chance a voulu que je garde la même classe durant les 4 ans. Celle-ci m’aura attribué une belle flopée de rumeur mais ma préférée restera le fait que je fus Lesbienne, puisqu’elle sera récurrente. Alors m’a grande décision a été de quitter mon collège (privé) pour un lycée public ou j’étais sur que personne n’irait ce qui me permettais de recommencer encore.

La classe de seconde a été très dure, pas d’amis, mais surtout bouc émissaire de ma classe. Cette fois ci les élèves m’ont utilisé, moi et mon in considérable envie d’avoir des amis. J’ai organisé des fêtes pour me faire bien voir, mais ces gens y ont foutu un véritable carnage « On s’en fout c’est chez C. ». Et puis, ils m’ont assez utilisé n’ont plus besoin de ma maison alors je deviens une lesbienne salope qui baise le 1er mec venu (cherchez l’erreur).

Ma 1ère et ma Terminale se passeront nettement mieux, mais les problèmes surviendront hors du contexte scolaire, puisque je commence à sortir, héhé. J’évoquerais peut être ça une autre fois….